Le travail associatif et scientifique face au déclin des poissons migrateurs
« […] L’association Bretagne Grands Migrateurs (BGM) […] porte le programme opérationnel du PLAGEPOMI des cours d’eau bretons. […] »
« […] L’association Bretagne Grands Migrateurs (BGM) […] porte le programme opérationnel du PLAGEPOMI des cours d’eau bretons. […] »
« […] Le ministère travaille à la sauvegarde de ces migrateurs amphihalins en déclin dans une approche intégrée de la préservation des écosystèmes aquatiques. […] »
« […] La connaissance du cycle marin et de l’impact du changement climatique sur les poissons migrateurs est encore une « boîte noire » que les scientifiques décryptent peu à peu […] »
« […] Le pôle MIAME est un partenaire essentiel qui documente les espèces, les pressions et l’état des populations des poissons migrateurs. […] »
« […] le rôle des scientifiques est crucial pour nous aider à planifier l’orientation des politiques publiques et la gestion de cette pêcherie en difficulté. […] »
« […] Mieux connaître pour mieux protéger, c’est notre objectif pour que les migrateurs amphihalins ne tombent pas dans l’oubli. »
« […] Les travaux scientifiques européens, dont ceux du pôle MIAME, nous aident à rendre un « avis scientifique » annuel sur l’état des populations d’anguilles […] »
« […] Une véritable relation de confiance s’est établie entre les scientifiques et l’OFB, ce dernier assurant les liens avec les ministères concernés. »
« […] Le pôle est devenu un interlocuteur incontournable dont l’expertise est essentielle à la gestion et à la préservation des poissons migrateurs amphihalins. »
Eric Sauquet (INRAE), Sonia Siauve (OiEau) et Claire Magand (OFB) reviennent sur l’expérience qu’a été le projet Explore2 : une quarantaine de scientifiques et une centaine de potentiels utilisateurs des résultats du projet rassemblés pour produire des données utiles à une meilleure gestion de l’eau à horizon 2100.
Guillaume Piton, chercheur en géomorphologie, étudie le fonctionnement des crues torrentielles. Ses travaux permettent d’éclairer les choix d’aménagement des territoires afin de réduire les risques liés à ces phénomènes extrêmes sur les infrastructures.
« […] Ce qui nous intéresse, c’est de pouvoir apprécier au mieux l’impact du changement climatique sur la ressource en eau à l’échelle locale. […] »